Alors on s'équipe et on investi dans deux duvets (qui vont jusqu'à +5°C, ça devrait suffire non ?), et on loue tente et carrés mat à l’hôtel.
Avec en plus nos courses pour manger, Seb ressemble à un escargot avec notre maison sur son dos !
1ère étape : 5km pour atteindre notre campement le refuge Chileno
Mise à l’épreuve de nos petits mollets de parisiens. Ça monte pas mal, en fait ça ne fait presque que de monter pendant de longs kilomètres...
Mise à l’épreuve de nos petits mollets de parisiens. Ça monte pas mal, en fait ça ne fait presque que de monter pendant de longs kilomètres...
2ème étape : 4km pour atteindre le Mirador de las Torres, puis retour
Avec le découpage "bucal" des montagnes on à l'impression d'être dans la bouche d'un géant.
Point de vue spectaculaire où forcément on s'empresse de faire le cliché souvenir.
Avec le découpage "bucal" des montagnes on à l'impression d'être dans la bouche d'un géant.
Point de vue spectaculaire où forcément on s'empresse de faire le cliché souvenir.
Au total 7 heures de marche pour couvrir les 13km
Dodo très frais (la température est descendue au dessous de 2 degrés (en fait les duvets 5°C en fait ça ne suffisait pas), et bien sûr, la sur-toile s'est collée contre la toile dans la nuit...). Les sous-doués de la rando reprennent leur route en grelottant...
3ème étape : 11km pour atteindre le refuge Los Cuernos
Kilomètres usants, on avance pour arriver... L'escargot grommelle dans sa coquille, il sera bientôt à point...
Kilomètres usants, on avance pour arriver... L'escargot grommelle dans sa coquille, il sera bientôt à point...
4ème étape : 5km pour arriver au Campement Italiano
On pense pouvoir s'offrir une pause sous le regard de l'immense glacier "Frances"
Un garde chasse nous dit qu'on risque de rater la navette du retour donc on remet les sacs
On pense pouvoir s'offrir une pause sous le regard de l'immense glacier "Frances"
Un garde chasse nous dit qu'on risque de rater la navette du retour donc on remet les sacs
5ème étape : 7,5km pour arriver à la fin : le refugio Paine Grande
Ça commence à plus s'apparenter à de la marche forcée que de la randonnée
On a l'impression d'arriver en Mordor quand on sillonne parmi les vases plaines aux arbres calcinés
Ça commence à plus s'apparenter à de la marche forcée que de la randonnée
On a l'impression d'arriver en Mordor quand on sillonne parmi les vases plaines aux arbres calcinés
Au total 9 heures de marche pour couvrir les 23,5 km
Coincés par le temps (on a un impératif date à respecter, on vous dira tout sur notre prochaine étape très vite), on ne pouvait pas passer plus de temps dans le parc alors que d'autres rando nous tentaient bien... Du coup, on a finalement préféré enchainer sur la 5ème étape plutôt que de passer une nuit supplémentaire dans le parc (pour même prix qu'une bonne nuit au chaud)
On n'a pas trop aimé :
- les descentes alors qu'on sait qu'on a une grosse montée juste après
- le froid la nuit
- les repas froids qui ne feront pas d'ombre à top chef
- les descentes alors qu'on sait qu'on a une grosse montée juste après
- le froid la nuit
- les repas froids qui ne feront pas d'ombre à top chef
On a aimé :
- les plats pour souffler entre deux montées
- les petits ponts pour passer les ruisseaux
- la vue incroyable en arrivant en haut
- les plats pour souffler entre deux montées
- les petits ponts pour passer les ruisseaux
- la vue incroyable en arrivant en haut
On n'a pas aimé du tout :
- le prix !
- le prix !
La chanson emblématique du parc : Ouh la gadoue, la gadoue, la gadoue...
L'escargot ne bave pas trop ? Les photos sont bien belles en tout cas !
RépondreSupprimerL'escargot complètement déshydraté d'avoir laissé une traînée de bave le long du sentier a pu se réhydrater grace a la Quilmes, la kro locale. Sa compagne quand à elle gambade toujours. Allez comprendre.
SupprimerWaaaaah. Mais le pingouin de Punto Tombo doit être hyper fatigué après tant de marche non ?
RépondreSupprimerNon ça va, il nous a suivi en volant en fait.
SupprimerMagique, on a l'impression d'être avec vous ! Sans doute de la gadoue, mais aussi des rhododendrons qui font rêver...
RépondreSupprimerEh oui, les magnifiques "petites-fleurs-rouges-le-long-du-lac" offrent un contraste merveilleux avec le bleu de l'eau !
SupprimerÇa use les mollets mais remonte le moral.
Superbe!!
RépondreSupprimerL'Amérique du Sud, pour le moment, a ça de surprenant : les paysages ne sont pas en soi un dépaysement total mais tout est tellement plus grand que chez nous !
SupprimerCourageux les parisiens
RépondreSupprimerOn doit reconnaitre que c'était un peu plus fatiguant que notre promenade du dimanche A/R sur les champs ou quais des seine mais les récompenses visuelles sont de taille ici !
SupprimerSalut les voyageurs ! On vient au nouvelles un peu tard mais c'est notre mode escargot à nous ! Splendide images et beau récit ! Allez c'est partis pour la séance de rattrapage !
RépondreSupprimer*se prépare à lire tout le blog*
S&N
Haha bon courage :')
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